Bogdan
Korczowski Wersja listu originalna po polsku napisana w dniu smierci
Tadeusza Kantora 8/12/1990:
Szanowny
Panie K. Paryz 8 grudnia 1990
Dzisiaj
jest sobota, jakakolwiek. Przyszla wiadomosc, ze Pan odszedl. Ot, tak
sobie. Jakim prawem, ja sie pytam? Mam przeciez w biurku zaproszenie
na Panskie Urodziny w przyszlym miesiacu. Zaczalem nawet prasowac koszule,
która nosze na wszystkie Panskie spektakle. Dziwne, ale dzis
w Paryzu pada snieg, rzecz wyjatkowa, przypominajaca do utraty pamieci
Kraków, kiedy dwadziescia lat temu mialem zetknac sie z Panem.
Od tego momentu mój plecak wypelnia sie nieustannie, dzieki Panskiej
wizji, tej co nazywamy SZTUKA.
Ta droga rozpoczela sie zupelnie zwyczajnie, jak przechadzka po Krakowie,
po tym Centrum Swiata, gdzie wyjscie poza Rynek, ten Pepek Wszystkiego,
bylo czyms szczególnym i wyjatkowym. Przeciez to wlasnie tam,
w piwnicy " Krzysztofory" , stal sie Pan Najwiekszym Artysta,
istnym zywym Dzielem Sztuki i Zyjacym Obrazem. Mistrzu, swiat drzy przed
Panem!
Od tego czasu bylem wielokrotnym swiadkiem i najwiekszej Chwaly i Uwielbienia,
skladanego Panu przez najwiekszych krytyków i milosników
Sztuki. Stal sie Pan idea nosiciela Milosci w Królestwie Smierci,
zwanym Pamiecia. Ktos powiedzial, ze niewazne, czy Pan zyje, czy nie
i tak nalezy Pan do Przeszlosci.
Widzi Pan? Za zycia stal sie Pan Jedynym, Wyjatkowym, NIEZASTAPIONYM,
w dodatku Pan tego wymagal. Tak, jakby wszystko wisialo na wlosku, w
miejscu , gdzie Czas stal sie bez znaczenia, a Wczoraj mialo wage Jutra.
Panski spacer po parku pomników z wyrytymi datami, osmieszyl
Smierc i postawil znak równosci z Miloscia. Zycie dzieki temu
ma byc Wielkim Archiwum, z góry ustalona kartoteka w porzadku
dat i rubryk. Zycie jako "cos" zamkniete, nie posiadajace
poczatku i konca. Jedynym sensem jest porzadkowanie tego archiwum, tam
i z powrotem, w sposób nieustanny, az elementy, tworzace nasze
zycie, uloza sie wedlug ich znaczen lub podobienstw, a nie chronologii.
W tym archiwum Jedyne Wyjscie, a raczej Jedyne Wejscie, bylo przez Pana
zamurowane. Istnienie stalo sie istnym Cmentarzyskiem Rekwizytów,
w którym sztucznosc i tymczasowosc maja trwalosc granitu i wartosc
diamentu. Z góry przeznaczone na zaglade dotychczasowe Modele
i przypadkowe, puste miejsca wypelniaja fantomy czlowieka, o przepraszam,
figury ludzkiej o okreslonych zaglebieniach i wkleslosciach. Jedyna
Akcja to instalacja Przypadku, dorastajacego do miary Najwazniejszego
Wydarzenia i Spelnienia. Pierwszy namalowany obraz jest równoczesnie
Ostatnim na powierzchni obracajacego sie bebna. Zycie jest istna iluzja
tworzenia, a wystawa malarstwa stala sie przedstawieniem twórczosci
Przeszlosci. Trzeba codziennie rozpoczynac od Zera, Rodzic sie, Spotykac,
Rozstawac, Zapominac, Pamietac i Umierac. Te wszystkie poczynania pokrywaja
nas jak papier pakunkowy, warstwa za warstwa, az stajemy sie listem,
przesylka, bagazem wlasnego JA.
Kiedy braknie miejsca, mozemy posluzyc sie walizka, torba, plecakiem
jako elementem towarzyszacym NA ZAWSZE. Do tego potrzebny jest nieuchronnie
parasol, który ma chronic skóre , o przepraszam, papier
przed wilgocia. Wtedy poczujemy, ze Cialo jest Opakowaniem , a nasze
konczyny Protezami. Wtedy OBRAZ staje sie przestrzenny i ruchomy. Niekonczacy
sie potok OBRAZÓW, namalowanych byle jak i tych starannie wykonczonych,
tych, na które nikt nie zwrócil uwagi i tych co tworza
HISTORIE. Korowód OBRAZÓW, sal wystawowych i muzeów,
które sa cmentarzami, a raczej Cmentarze, które staja
sie Muzeami. W tej podrózy koniecznie potrzebne jest krzeslo,
aby Przystanek byl odpoczynkiem do zlapania tchu. Aby zlapac dech potrzebna
jest operacja domalowania ust manekinowi, który siedzi na tym
krzesle.
I tak od Stacji do Stacji: od "KURKI WODNEJ", "NADOBNISIÓW
I KOCZKODANÓW", "UMARLEJ KLASY", "WIELOPOLA
WIELOPOLA", "GDZIE SIE PODZIALY NIEGDYSIEJSZE SNIEGI",
"NIECH SZCZEZNA ARTYSCI", poprzez "NIGDY TU NIE POWRÓCE",
az do "DZIS SA MOJE URODZINY", gdzie i na ostatnia Stacje
Pan mnie zaprosil. Pan zmarl. PANA NIE MA. Zatrzasnal Pan te drzwi i
zabral JE ze soba. Nie mozna w nie zapukac, a o podgladaniu przez dziurke
od klucza nie mozna nawet marzyc!!! Zdecydowanie ostrzegam Pana, ze
jednak przyjde na Panskie Urodziny, przyjde popatrzec, jak Pan zdmuchuje
swieczki na torcie i przyjde tez, aby uscisnac Panska dlon i spojrzec
z uwielbieniem w Panskie oczy. Prosze, blagam, niech Pan zwróci
uwage na moje JA, wcisniete w kulisy, kocham Pana do szalenstwa.
Z powazaniem
Bogdan Korczowski
Lettre
à Tadeusz Kantor traduit du polonais par Agnieszka Zgieb
Paris, le 8 décembre
1990
Cher Monsieur K.,
Aujourd'hui nous
sommes samedi, un samedi comme un autre. Et voilà qu'on m'annonce
votre décès. Vous êtes parti. Juste comme ça.
De quel droit, je vous le demande ? J'ai pourtant dans le tiroir de
mon bureau une invitation à votre Anniversaire le mois prochain.
J'ai commencé à repasser ma chemise, celle que je porte
à tous vos spectacles. C'est étrange, aujourd'hui il neige
à Paris, chose exeptionnelle, qui jusqu'à l'evanouissement
de la mémoire rappelle Cracovie, là où, il y a
vingt ans, je vous ai rencontré (pour la première fois).
Depuis, mon sac à dos se remplit sans cesse grâce à
votre vision, celle qu'on appelle l'ART. Ce chemin a commencé
tout à fait banalement, comme une balade à Cracovie, dans
ce Centre du Monde où quitter la Grande Place, cet Embrillon
de Tout, était rare et exeptionnel. Et pourtant c'est justement
là, à la cave de Krzysztofory, que vous êtes devenu
un immense Artiste, une véritable uvre d'Art vivante et
un Tableau Vivant. Maître, le monde tremble devant vous ! Depuis,
j'ai été témoin un nombre infini de fois de la
plus grande gloire et admiration montrée à votre égards
par les plus grands critiques et les amoureux de l'art. Vous êtes
devenu l'idée même de celui qui porte l'Amour dans le Royaume
de la Mort appelé Mémoire. Quelqu'un a dit, peu importe
si vous êtes vivant ou mort, quoi qu'il arrive vous appartenez
au Passé. Vous voyez ? De votre vivant vous êtes devenu
l'Unique, l'Exceptionnel, l'IRREMPLACABLE. De plus vous l'exigiez. Comme
si tout tenait à un cheveu, à l'endroit où le Temps
n'a plus d'importance, et Hier a porté le poids de Demain. Votre
voyage dans le jardin des édifices aux dates gravées a
ridiculisé la Mort et l'a mise sur un pied d'égalité
avec l'Amour. Ainsi, la vie doit être cette grande Archive, avec
une cartothèque définie à l'avance qui respecte
l'ordre des dates et des rubriques. La vie qui, comme " quelque
chose " de fermé, n'a ni le début ni la fin. La seule
chose qui compte c'est ordonner cette archive, faire des va-et-vients,
continuellement, jusqu'à ce que les éléments qui
composent notre vie s'organisent selon leurs significations ou ressamblances,
et non selon la chronologie. Dans cette archive, la Seule Issue, ou
plutôt la Seule Sortie, vous l'avez murée. L'existence
est devenue un véritable Cimetière des Accessoires où
l'artifice et la temporalité ont la pérenité du
granit et la valeur du diamant. D'avance voués/comdamnés
à l'anéantissement les modèles établis et
les espaces vides disposés au hasard sont remplis par des fântomes
humains, ou plutôt, par des fântomes de figures humaines
aux creux et concavités définis. La seule Action est une
Installation du Hasard, qui acquiert la dimension du Plus Grand Evénement
et de l'Accomplissement. Le premier tableau peint est en même
temps le Dernier sur la surface d'une bobine qui tourne. La vie est
une véritable illusion de la création, et l'exposition
des peintures est devenue une répresentation de la création
du Passé. Il faut recommenser à zéro chaque jour,
naître, se rencontrer, se séparer, oublier, se souvenir
et mourir. Toutes ces actions nous recouvrent comme le papier d'emmballage,
couche après couche, jusqu'à ce que l'on devienne une
lettre, un colis, un bagage de notre propre moi. Nous pouvons aussi
nous servir d'une valise ou d'un sac à dos comme élément
qui nous accompagne pour toujours. Pour cela, nous avons besoin à
tout prix d'un parapluie qui doit nous proteger la peau, ou plutôt,
proteger le papier de l'humidité. À ce moment-là
nous sentirons que le Corps est un Emballage, et nos membres des Prothèses.
Ainsi le tableau devient mobile dans l'espace. Un flux sans fin de tableaux,
ceux peints n'importe comment et ceux faits avec soin, ceux que personne
ne remarque et ceux qui contribuent à notre histoire. Un cortège
de tableaux, de salles d'exposition et de musées qui sont des
cimetières, ou plutôt des cimetières qui sont des
musées. Une chaise est indispensable dans ce voyage, pour que
la Station devienne un aire de repos, pour pouvoir reprendre son souffle.
Pour reprendre le souffle il faut donner au mannquin assis sur cette
chaise sa bouche, l'opérer à l'aide d'un pinceau. Ainsi,
de Station en Station, depuis La Poule d'eau, Les Mignons et les
Guenons, La Classe morte, Wielopole, Wielopole, Où sont les neiges
d'antan, Qu'ils crevent les artistes, à travers Je ne
reviendrai jamais, jusqu'à C'est mon anniversaire,
cette dernière station à laquelle vous m'avez aussi invité.
Vous êtes mort. Vous n'êtes plus. Vous avez claqué
la porte et l'avez prise avec vous. On ne peut y frapper ni regarder
à travers le trou de la serrure, même pas dans les rêves
!!! Mais je vous previens, je viendrai à Votre Anniversaire,
je viendrai vous regarder souffler les bougies, je viendrai et vous
serrai la main, je regarderai avec adoration dans vos yeux. Je vous
en supplie accordez votre attention à mon moi, dissimulé
dans les coulisses, je vous aime à la folie.
Respectuesement,
Bogdan Korczowski
Traduction du polonais
Agnieszka Zgieb

Korczowski
KARTONTEKA 1990-2000
Korczowski KARTONTEKA
installation 1990-2000
Tekst z "Dekady
Literackiej" nr 130/131 z
1997 roku:
RAFAL SOLEWSKI
" Pomiedzy "
Swiat wartosci stworzony zostal jako kraina jednoznacznych idei. Piekno,
dobro czy milosc mialy byc oczywiste, jednoznaczne i czytelne. Od kiedy
jednak slaby umysl czlowieka ulegl pokusie rozwazania oczywistej przeciez
istoty tych pojec, interpretacyjna zaslona zaklócila dawna bezposredniosc
kontaktu, budujac teze, ze kazdy sam decyduje o tym, co piekne i dobre.
Dlatego dzis czlowiek bezradnie poszukuje obiektywnej prawdy, zagubionej
przez pelna pychy wiare w moc wlasnego umyslu. W szczególnym
stopniu dotyczy to piekna. Powolana do eksponowania go sztuka zatracila
bowiem gdzies i kiedys swoja role, stajac sie smietnikiem niezrozumialych
informacji. Wciaz jednak istnieja artysci i widzowie, którzy
przez intuicje, uczucia i estetyczne doznania usiluja piekno odnalezc.Bogdan
Korczowski nazywa swe malarstwo abstrakcjonizmem symbolicznym. Wskazuje
w ten sposób na dwie drogi, którymi podazajac poszukuje
sie wspólczesnie piekna poprzez sztuke. Pracujacy w Paryzu malarz
z Krakowa, zarazem artystyczny wedrowiec, sam opowiada o swej obserwacji
dotyczacej dwóch róznych sposobów odbioru sztuki.
Wspólczesny czlowiek Zachodu szuka przede wszystkim estetycznych
wrazen. Dostrzega mianowicie kompozycje obrazu, gre linii i plam, stopniowe
przemiany lub kontrasty kolorów. Tymczasem Polacy wciaz chca
wyjasniac znaczenie symboli, odczytywac tresci zakamuflowane, jakby
wciaz przed kims ukryte, adresowane nie tyle do zmyslów, co do
umyslu i uczuc.W malarstwie Korczowskiego dochodzi do spotkania dwóch
rzeczywistosci. Juz bowiem same abstrakcyjne kompozycje tworza autonomiczny
swiat indywidualnej ekspresji. Olejne farby nakladane sa na plaszczyzne
obrazu grubo i gwaltownie. Rzadko pojawiaja sie kropki, prawie nigdy
- linie malowane szeroko i jednostajnie. To szybkie pociagniecia pedzlem,
wlasciwie nerwowe uderzenia. Czesto farba, nie mieszczac sie juz w nieregularnych
granicach plamy zbudowanej bezposrednim dotknieciem pedzla, splywa w
dól tworzac naturalny ornament. Plamy i strugi buduja gruba fakture,
w której pojawiaja sie wglebienia, rysy i zadrapania, elementy
kolejnej - rzec by mozna - plaszczyzny nalozonej na obraz i harmonijnie
wchodzacej w sklad struktury dziela. Uderzenia pedzla pozostawiaja slady
w postaci podluznych, mniej lub bardziej zakrzywionych plam o zróznicowanym
kierunku i zwrocie, najczesciej jednak zgrupowanych w pionowo zorientowane
zespoly. Wertykalizm kompozycji podkreslaja wlasnie struzki pozostawione
przez sciekajaca farbe. Wrazenie takie rozbija jednak struktura barwna,
tworzaca czesto szerokie, nieregularne, poziome pasy. Zderzenie takie
poteguje ekspresyjny efekt grubej, pokrytej struzkami i rysami faktury
oraz gwaltownego duktu pedzla.Równiez kolor nie uspokaja obrazów.
Duza grupa dziel zdradza fascynacje autora ogniem i sloncem. Czerwienie,
zólcienie i cynobry wypelniaja "plomienne" ksztalty
nieforemnych plam. Na innych obrazach spokojny blekit przemienia sie
w rózne odcienie ultramaryny, granatu, czerni i fioletu. W efekcie
powstaje chlodne i ciemne, wciaz jednak ekspresyjne napiecie. Te indywidualna
gospodarke barwa malarz nazywa wlasnym koloryzmem i opisuje jako formule
wypracowana juz podczas swych podrózy i pobytu w Paryzu. Wlasnie
bowiem bardziej jako czlowiek Zachodu Korczowski operuje wyrafinowana
estetyka malarska. Poszukiwacze doznan wywolywanych przez kompozycje,
fakture, kolor i swiatlo, pragnacy odnalezc piekno w sztuce laczacej
emocje wyrazu z lekkoscia i wdziekiem kunsztu, znajduja satysfakcje
patrzac na formalna wirtuozerie Korczowskiego.Istnieje jednak druga
sfera tego malarstwa. Wyszukana bowiem gra elementów formalnych
jest w istocie tlem dla symboli. Symboli, których trudna i tajemnicza
droga do piekna i prawdy kroczyc przywykl swiat, gdzie ropoczela sie
twórcza droga malarza i gdzie artysta formowal najpierw swa osobowosc.
To wlasnie w tej krainie Krzyz i Gwiazda Dawida z obrazów Korczowskiego
utrzymywaly w owym czasie glebie swych znaczen, utracona w zapamietalej
w "postepie" i otepialej przez to cywilizacji Zachodu. Tu
takze pojawiajace sie w tytulach obrazów artysty pojecia "Nieba"
lub "Edenu" nie staly sie jeszcze literackimi tylko narzedziami,
ale oznaczaly prawdziwie istniejaca, choc trudno uchwytna rzeczywistosc.
"Upadek aniolów" pozostaje tu wciaz kosmiczna katastrofa
zderzeniem piekna i zla, eksplozja która wyzwolila wszechogarniajace
plomienie i spowodowala gwaltowny ruch planet, niweczac regularne ich
ksztalty. Przyczyny i skutki tego kataklizmu zdaja sie kryc wlasnie
pod motywami zmiazdzonych owali i elips, budzacych tak religijno-duchowe,
jak i niepokojac erotyczne skojarzenia.Tylko w opuszczonym kiedys przez
niedojrzalego malarza swiecie plonacy dom, czapka blazna - glupca, a
zarazem przenikliwego wieszcza, czy nietrwale papierowe stateczki byly
wciaz symbolami, przez które interpretowalo sie historie, wlasna
egzystencje wpisana w dzieje narodu, a specjalnie nawet zywot artysty.
Ta umierajaca dzis kraina pozostaje wciaz czescia tozsamosci pracujacego
na emigracji malarza. Wola przyznania sie do swoich korzeni ulega wyeksponowaniu
kiedy twórca przywoluje Kraków w swych slowach i w swoich
dzielach. Litera "K" na obrazach oznacza miasto odkryte wlasciwie
po czasie, w pamieci intelektualnej i emocjonalnej, ogladane kiedys
oczami kierownika ksiegarni, hipisa wedrujacego miedzy "bunkrem"
galerii Biura Wystaw Artystycznych, kawiarnia pod Krzysztoforami, kabaretem
w Piwnicy pod Baranami, klubem pod Jaszczurami i kawiarnia Rio. "K"
to zatem artystyczna, troche dekadencka atmosfera dziejów Polaków,
Zydów, Niemców i Wlochów tkwiacych mimo wszystko
w zamknietym kregu sztuki i historii, polaczonych w zdumiewajacym, nobliwym
i swawolnym zarazem zwiazku konserwatyzmu i swobody. Ta wlasnie specyfika,
decydujaca o ksztalcie nieporadnego troche, lecz uporczywego poszukiwania
wspólnego i jedynego piekna przez Kraków, ukrywa sie pod
literowym symbolem malarskiej i swiatopogladowej "kolebki"
artysty.Wcieleniem artystycznej atmosfery staroswieckiego miasta stal
sie w oczach Korczowskiego Tadeusz Kantor. Postawa tego bezkompromisowego
w sprawach sztuki twórcy, stala sie dla krakowskiego, a potem
paryskiego malarza przedmiotem wyjatkowej admiracji. Korczowski wprost
mówi, ze dostrzega w Kantorze wlasnie mistrza artystycznej postawy
i wzór tym bardziej godny nasladowania, ze zwiazany ze swoim
wielbicielem swoista wspólnota losów: krakowskimi korzeniami,
paryska nauka i fascynacja wreszcie niekonczacymi sie podrózami.
W slowach mlodszego twórcy "duzo podrózowalem, jezdzilem
za moimi obrazami i z moimi obrazami" kryje sie gdzies aluzja do
paryskich wypraw niedojrzalego jeszcze zalozyciela Grupy Krakowskiej
i do pózniejszych wedrówek teatru Cricot 2. Byc moze nawet
bardziej juz "zachodnia" fascynacja postacia i rola poznanego
w Ameryce szamana Navajo, który w sztuce ceni wylacznie chwile
tworzenia i który pozostawic moze jednego zaledwie ucznia, jest
inna forma wiary w postac genialnego i niepowtarzalnego artysty, gloszacego
prymat "procesu" powstawania sztuki i gardzacego swymi epigonami.
Kultem darzy Korczowski Kantora takze za jego paradoksalna role niedocenianego
ambasadora Krakowa i lekcewazonego Stanczyka sztuki, który wciaz
podrózujac i wszedzie odnoszac sukcesy, nigdy nie porzucil swego
miasta, nie zawsze wdziecznego przeciez za swa artystyczna obecnosc
w calym swiecie, mozliwa wlasnie dzieki podrózom Kantora, który
- jak mówi Korczowski - w swej walizce wozil ze soba swoja sztuke
i swoja rzeczywistosc, a w niej wlasnie Kraków.Siermiezny, "najnizszej
rangi" - jakby powiedzial Kantor -walor zuzytego i wyswiechtanego,
podrózniczego rekwizytu, czy moze raczej w ogóle sztuki
krakowskiego demiurga, stal sie takze bezposrednia juz inspiracja dla
sztuki Korczowskiego. Otóz duza czesc obrazów tego twórcy
malowana jest na zwyklych kartonach, które podczas wystaw po
prostu przybija sie do scian gwozdziami. Zdarza sie takze, ze papierowe
stateczki przylepiane sa do kartonu, wchodzac w sklad collage'u, techniki
tak lubianej przez Kantora. Wyjatkowa rola tego artysty dla twórczosci
i dla swiatopogladu wedrujacego po swiecie paryzanina i krakowianina
zarazem, wyeksponowana zostala wreszcie bardzo juz bezposrednio. Korczowski
napisal mianowicie list do "Pana K." List zawiera krótkie,
lecz celne, wlasne analizy malarsko-teatralnych dzialan Kantora. Przede
wszystkim jest jednak wyrazem zalu i gniewu niemal, wypominaniem artyscie
jego smierci, jego odejscia w chwili, kiedy - jak zawsze zreszta - jego
wizyta w Paryzu tak bardzo byla oczekiwana. Pendant do tej "korespondencji"
staje sie cykl "Kartonów dla K"., swoisty hold zlozony
wlasna sztuka twórcy, którego odejscie wzbudzilo tak bolesne
emocje. Ta wlasnie kartonowa seria pojawila sie wreszcie w Krakowie,
by w niewielkiej przestrzeni Galerii Albert Klubu Inteligencji Katolickiej
pokazac jedna z niewielu nieznanych jeszcze dziedzin zwiazanych z zyciem
i sztuka Kantora. Okazalo sie bowiem, ze ten pozornie nieprzystepny,
trudny i konfliktowy czlowiek stal sie mimo wszystko wzorem i inspiracja
dla innych artystów, zródlem, z którego jednak
mozna czerpac.K to zatem Kraków, Kantor, kartony i wreszcie sam
Korczowski. To wlasciwie stworzony przez malarza nowy symbol jego sztuki
i jego artystycznej tozsamosci, która choc budowana w oparciu
o rózne doswiadczenia, wciaz pozostaje scisle zwiazana z krakowskimi
"korzeniami twórcy". Wystawa w Galerii Albert pokazala
bowiem posrednio tylko Tadeusza Kantora. Przede wszystkim przedstawila
Bogdana Korczowskiego. Jednego z polskich malarzy, którzy decydujac
sie na kontynuowanie swej artystycznej drogi poza Polska, znajduja sie
pomiedzy dwoma wciaz jeszcze róznymi swiatami. Korczowski dobrze
uswiadomil sobie te róznice i stara sie znalezc swe miejsce w
przestrzeni rozdarcia. Pozostajac w nurcie twórców, którzy
w opozycji do powierzchownej, postmodernistycznej fascynacji pusta formalna
gra, usiluja poszukiwac utraconych przez wspólczesna sztuke wartosci.
Korczowski, o czym byla juz mowa, odkrywa i eksploatuje swe korzenie.
Rezultatem tej inspiracji sa symboliczne motywy, które z kolei
wpisuja sie w pelna ekspresji, abstrakcyjna gre ksztaltów i kolorów,
co jest wynikiem pózniejszych juz doswiadczen. Ten zwiazek bywa
harmonijny, lecz chyba czesciej pojawia sie wrazenie kontrastu, czy
nawet pewnego dysonansu. Korczowski uswiadamia bowiem róznice,
która wciaz istnieje pomiedzy swiatem symboli a kraina estetycznych
doznan. Zarazem laczy i przeciwstawia te rzeczywistosci. Wykorzystuje
je, lecz nie daje odpowiedzi, która z nich jest mu blizsza. Rozdarcie
bowiem ukazuje nie tylko róznice, lecz takze droge "pomiedzy",
która daje szanse ominiecia zaslony interpretacji, smaków,
gustów i stylów. Obok zatem formalnego kunsztu i dojrzalej
umiejetnosci uzycia znaku, to wlasnie rewelatorskie zderzenie i zbudowana
na nim filozoficzna wskazówka staja sie indywidualnymi walorami
sztuki i jego drogi ku prawdzie i pieknu.
Traduis du polonais
par Maria Nawrocka.
Rafal Solewski "Le chemin entre
"
Le monde des valeurs
a été créé en tant que contrée d'idées
équivalentes. La beauté, la bonté ou l'amour devaient
être des valeurs équivalentes et lisibles. Cependant, depuis
que le faible esprit humain a succombé à la tentation
de délibérer sur l'essentiel de ces conceptions, pourtant
évident, le rideau d'interprétation a troublé l'ancienne
spontanéité du contact, en construisant une thèse,
selon laquelle chacun devrait décider de ce qui est beau et bon.
C'est pourquoi aujourd'hui, l'homme cherche avec perplexité une
vérité objective, perdue par la croyance - pleine d'orgueil,
en le pouvoir de l'esprit. Cela concerne en particulier la beauté.
L'art qui est prédestiné à être exposé,
a perdu un jour quelque part son rôle, en devenant une poubelle
d'informations incompréhensibles. Toutefois, il existe toujours
des artistes et des spectateurs qui, grâce à l'intuition,
aux sentiments et aux plaisirs esthétiques éprouvés,
essaient de découvrir la beauté.
Bogdan Korczowski appelle sa peinture un abstractionnisme symbolique.
Il indique ainsi deux chemins que l'on suit aujourd'hui, en cherchant
une beauté à travers l'art. Un peintre de Cracovie, travaillant
à Paris, à la fois un pèlerin artistique, parle
lui-même de ses réflexions concernant les deux différentes
façons de percevoir l'art, L'homme contemporain de l'Ouest cherche
en art, tout d'abord des impressions artistiques. Il y perçoit
particulièrement la composition du tableau, le jeu des lignes
et des taches, les transformations progressives ou les contrastes des
couleurs. Les Polonais, eux, veulent constamment expliquer la signification
des symboles, déchiffrer le sens des contenus camouflés
comme s'ils étaient toujours cachés et adressés
aux sens, non pas à l'esprit et aux sentiments.
Dans l'art de Korczowski on peut parler d'une rencontre de deux réalités.
Déjà, seules les compositions abstraites, créent
le monde d'une expression individuelle. On met violemment, sur la surface
du tableau, une épaisse couche de peinture à l'huile.
Les points y sont rares ; des lignes peintes largement et uniformément
n'y apparaissent presque jamais. Ce sont des touches rapides, on dirait
des coups nerveux. Souvent la peinture, qui dépasse les bords
irréguliers d'une tache, faite par un toucher direct du pinceau,
s'écoule en bas du tableau en formant un ornement naturel. Des
taches et des filets construisent une facture épaisse avec des
creux, des fissures et des égratignures ; on a l'impression que
ce sont des éléments d'une autre surface appliquée
sur le tableau et faisant part, d'une façon harmonieuse, de toute
la structure de l'uvre. Les coups de pinceau laissent des traces
en forme de taches, plus au moins allongées, qui ont une direction
diversifiée et qui sont, dans la plupart des cas, concentrées
en groupes verticalement orientés. La verticalité de la
composition est justement soulignée par des filets de peinture
qui s'est écoulée. Une telle impression est brisée
par la structure colorée, qui fait souvent des raies larges,
horizontales et irrégulières.
L'impact est renforcé par l'effet expressif d'une facture épaisse,
couverte de petits filets et fissures ainsi que par des coups de pinceau
violents.
La couleur joue également un grand rôle dans les tableaux
de Korczowski. Un groupe important de ces uvres manifestent la
fascination de l'auteur pour le feu et le soleil. Les rouges, les jaunes
et les vermillons dominent les formes " flamboyantes " des
taches difformes. Sur d'autres tableaux un bleu calme (doux, tendre)
se transforme en différentes nuances du bleu outre-mer, du noir
et du violet, En effet, l'auteur crée une tension froide, sombre
mais expressive quand même. Le peintre appelle cette disposition
individuelle des couleurs, son propre coloris et il le décrit
comme une formule déjà élaborée pendant
ses voyages et son séjour à Paris. C'est plutôt
déjà comme un homme de l'Ouest, que Korczowski applique
une esthétique de peinture raffinée. Les spectateurs cherchant
à éprouver le plaisir évoqué par la composition,
la facture, la couleur et la lumière, désirant découvrir
dans l'art une beauté qui lie les émotions de l'impression
avec la légèreté du charme artistique, trouvent
satisfaction en regardant la virtuosité formelle de Korczowski.
Cependant, il existe un deuxième aspect dans cette peinture.
Un jeu recherché d'éléments formels constitue au
fond une base pour les symboles. C'est à travers le chemin mystérieux
de ces symboles, se dirigeant vers la beauté et la vérité,
que le monde s'est habitué à passer ; c'est là
où la voie du peintre à la création s'est initiée,
où l'artiste a formé son identité.
La Croix et l'Étoile de David des tableaux de Korczowski ont
gardé dans cette contrée, en ce temps-là, une profondeur
de signification, perdue dans la civilisation occidentale si engourdie
par le progrès frénétique. Les termes apparus dans
les titres des tableaux comme : Ciel ou Eden, ne sont pas encore devenus
des instruments uniquement littéraires, mais ils déterminent
une réalité réellement existante, quoique difficile
à saisir, Le tableau intitulé La Chute de l'Ange reste
toujours une catastrophe cosmique, une collision de la beauté
avec le mal, une explosion, qui a libéré des flammes omniprésentes
et provoqué le mouvement violent des planètes tout en
détruisant leurs formes régulières, Les causes
et les conséquences de ce cataclysme donnent l'impression de
se cacher sous les motifs des ovales et des ellipses écrasés,
suscitant des associations spirituelles et religieuses et troublant
des associations érotiques.
Dans le monde, jadis abandonné par un jeune artiste, la maison
en flammes, le chapeau d'un bouffon - d'un sot, et en même temps
d'un grand prophète clairvoyant, ou encore les bateaux fragiles
en papier, étaient toujours des symboles, à travers lesquels
on interprétait l'histoire, l'existence inscrite dans l'histoire
de la nation et même la vie d'un artiste, Cette contrée
qui disparait aujourd'hui, reste toujours une partie de l'identité
de l'artiste qui a émigré et qui travaille à l'étranger.
La volonté de reconnaître ses racines se manifeste au moment
où l'artiste, dans ses paroles et dans ses uvres, évoque
Cracovie. La lettre " K " placée sur les tableaux signifie
à vrai dire, la ville découverte un peu trop tard. Dans
la mémoire émotive, cette ville était jadis contemplée
par un fils de libraire, un hippy flânant entre la galerie BWA,
le café Pod Krzysztoforami, le cabaret Pod Baranami, le club
Pod Jaszczurami et le café Rio. " K " signifie alors
une ambiance artistique, un peu décadente de l'histoire des Polonais,
des Juifs, des Allemands et des Italiens. Ces nations demeurent malgré
tout cela, dans un cercle fermé de l'art et de l'histoire unis
par une étonnante liaison - noble et folâtre à la
fois, du conservatisme et de la liberté. Cette spécificité
décidant de la nature d'une recherche de la beauté commune
et unique à travers Cracovie, une recherche un peu maladroite,
néanmoins persévérante, se cache sous un symbole
en forme de lettre, qui signifie le berceau de l'artiste lié
à sa peinture et à sa vision du monde.
D'après Korczowski, Tadeusz Kantor est un symbole de l'ambiance
artistique de cette ville surannée. L'attitude sans compromis
de cet artiste face à l'art, est devenue pour ce peintre cracovien,
puis parisien, l'objet d'une admiration particulière. Korczowski
dit franchement qu'il voit en Kantor un modèle de l'attitude
artistique ; un modèle d'autant plus digne d'être copié
que les deux artistes peuvent se sentir unis par la similitude de leurs
destins : les racines cracoviennes, l'éducation et la fascination
parisienne enfin les très nombreux voyages. Dans la constatation
du jeune artiste : " J'ai beaucoup voyagé, j'ai voyagé
avec mes tableaux et j'allais là où ils allaient
" on retrouve une allusion cachée aux expéditions
parisiennes d'un jeune organisateur du Grupa Krakowska et des expéditions
postérieures du théâtre Cricot 2.
Il est possible que la fascination, déjà un peu plus,
" occidentale ", envers le personnage du chaman Navajo, rencontré
en Amérique, n'appréciant dans l'art que le seul moment
de la création, et ne laissant peut-être qu'un seul élève...
est une autre forme de foi en l'artiste, génial et unique, proclamant
la primauté du processus de la création de l'art et méprisant
ses épigones. Korczowski manifeste sa grande admiration pour
Kantor, pour son rôle paradoxal d'ambassadeur de Cracovie, de
Stanczyk de l'art, sous-estimé et dédaigné. Tout
en voyageant et en ayant du succès partout dans le monde, Kantor
n'a jamais abandonné sa ville. Cependant, cette ville n'a pas
toujours été reconnaissante de sa présence artistique
dans le monde entier - possible grâce à ses voyages. Kantor,
comme le présente Korczowski, portait dans sa valise son art
et sa réalité avec, à l'intérieur, Cracovie,
Une valeur ordinaire - de la moindre importance - comme l'aurait dit
Kantor, de l'accessoire de voyage, usé et sali ou plutôt
de l'art d'un artiste cracovien, est demeuré une inspiration
directe pour l'art de Korczowski.
Voilà que la plupart des tableaux de cet artiste sont peints
sur des cartons ordinaires et, accrochés aux murs pendant les
expositions, simplement avec des clous. Il arrive que les petits bateaux
en papiers soient collés au carton faisant partie d'un collage
- d'une technique très appréciée par Kantor. Le
rôle exceptionnel de cet artiste dans la création et la
vision du monde de Korczowski, parisien et cracovien à la fois,
voyageur à travers le monde, a été enfin exposé,
d'une façon directe. Korczowski a écrit une lettre à
Monsieur K. Cette lettre comprend quelques courtes et justes analyses
de l'activité de Kantor dans les domaines de la peinture et du
théâtre. Cette lettre exprime avant tout le regret, la
colère même vis-à-vis de l'artiste ; Korczowski
lui reproche la mort et le départ au moment où sa visite
à Paris était, comme toujours, si attendue. Cette correspondance
a été complétée par un cycle intitulé
Les cartons pour K constituant un hommage assez spécifique rendu
par l'art de Korczowski à un artiste, dont la mort a suscité
des émotions si douloureuses. Cette série de cartons est
aussi apparue à Cracovie dans la Galerie Albert du KIK où
elle a pu présenter, un des rares domaines encore méconnus
de la création de Kantor. Cet homme en apparence inabordable,
difficile et provoquant des conflits, s'est avéré un modèle,
une inspiration pour d'autres artistes, une source dans laquelle on
peut puiser.
La lettre " K " signifie donc Kraków (Cracovie), Kantor,
kartony (les cartons) et enfin Korczowski lui-même.
Le nouveau symbole de son art et de l'identité artistique créé
par le peintre, quoique construit sur la base de différentes
expériences, reste toujours lié aux racines cracoviennes
de l'artiste, L'exposition préparée pour la Galerie Albert,
a présenté Tadeusz Kantor à peine indirectement.
Elle a tout d'abord présenté Bogdan Korczowski, un des
peintres qui comme les autres, en prenant la décision de continuer
son chemin artistique en dehors de la Pologne, a ainsi décidé
de demeurer entre deux mondes encore différents. Korczowski s'est
bien rendu compte de cette différence et aujourd'hui il essaie
de trouver sa place dans l'espace de la déchirure, tout en restant
dans le courant des créateurs, qui par opposition à la
fascination superficielle et post-moderne pour un jeu formel, essaient
de chercher les valeurs perdues par l'art contemporain. Korczowski,
on l'a déjà dit, découvre et exploite ses racines.
Ce qui résulte de cette inspiration ce sont des motifs symboliques,
qui, à leur tour, s'inscrivent dans un jeu très expressif
et abstrait de formes et de couleurs. Ce jeu est le résultat
des expériences postérieures. Parfois il arrive, que cette
liaison demeure harmonieuse ; d'autres fois, et c'est le cas le plus
fréquent, une sorte de contraste, même de dissonance apparaît'
En effet, Korczowski est conscient de la différence qui existe
toujours entre le monde des symboles et la contrée des impressions
artistiques. Il lie et oppose à la fois ces réalités.
Il les exploite mais il ne précise pas laquelle lui est plus
proche. La déchirure en effet ne montre pas seulement la différence,
elle montre également le chemin " entre " elles, ce
qui donne une chance d'omettre le rideau de l'interprétation,
des goûts et des styles. À côté donc de l'art
formel, du savoir-faire concernant l'utilisation du signe, cette collision
innovatrice qui est la base d'une indication philosophique, constitue
des valeurs individuelles de l'art et son chemin vers la vérité
et la beauté.
Traduis du polonais
par Maria Nawrocka.
Korczowski
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